Måneskin
Måneskin est un duo dansé et chorégraphié par Ernest MANDAP & Sarah VAUMOURIN, destiné plutôt à être performé dans divers espaces intérieurs types musées, galeries d'art, hall, entrepôts, ...
Proposé sous la forme de courtes performances, il nous invite à suivre les aventures de 2 êtres.
A ce jour, seul un 1er module de 9 minutes a été créé.
Suivront courant de l'année 2023, d'autres modules, à la frontière entre le spectacle vivant et le film de danse,
qui pourront être observés dans une continuité ou complètement indépendamment les uns des autres.
En images
Calendrier 2023 (en cours) : Diffusion - Création
Mars - Singapour
Måneskin (1er module - 9 min)
Printemps - Philippines
Måneskin (1er module - 9 min)
Avril/Mai - Paris
Résidences de création du 2ème module
Juin - Paris
Dans le cadre de l'évènement "Encontre"
Måneskin (version 20min - 1er et 2ème module) suivi d'une intervention d'un(e) philosophe autour du propos du duo
nOTE D'INTENTION
Sur la globalité de la performance pensée en 3 ou 4 modules, Ernest et Sarah cherchent à interroger la rencontre entre ces êtres et les spectateurs
Ces quelques croquis montrent l'évolution qu'ils projettent : l'idée étant qu'à la fin, les spectateurs repartent avec le doute sur "qui ont-ils vraiment rencontré ?"
Des êtres humains ? Des êtres primitifs ? Des animaux ? Des ancêtres ? Des êtres extra-terrestres même ? Ou n'était-ce finalement qu'un rêve ... guidé par leurs propres pensées.
Les spectateurs se sont-ils reconnus à un moment donné ? se sont-ils sentis étrangers à un autre moment ?
Dans l'empathie ou dérangés ? Par une forme de ressemblance partagée ou par la différence ? ....
Ce trouble passera par une évolution du costume, et du clair-obscur au fur et à mesure de la transformation de ces 2 êtres :
1er module
2 êtres d'apparence plutôt humaine, mais déjà dans une certaine neutralité de genre.
2ème module
Ces 2 êtres ont en commun un buste couleur "nu", ni homme ni femme.
Plus de jambes apparentes mais un long tissu dessine le bas du corps qui peut faire penser à une jupe, mais pas que, on peut aussi y voir un instant, un ancrage, des racines, ou à l'inverse quelque chose de beaucoup plus flottant, l'effet onirique se pose subtilement.
Le blanc de Lune a progressé, il tombe en dégradé du haut du corps vers le milieu-bas
3ème module
Le tissu se déploie davantage pour laisser apparaître des sortes d'ailes. Les bras disparaissent, la tête ne se distingue presque plus non plus, recouverte d'une "capuche-colonne" légèrement transparente.
Une forte lumière qui provient du visage, projette vers l'extérieur